Voilà une semaine que nous sommes rentrés, nous regardons à présent devant....

Je reviendrai peut être ajouter quelques photos aux albums, mettre un post, qui sait? 

Ce carnet de route est certainement imcomplet, mais nous espérons vous avoir fait un petit peu partager

notre voyage. Merci à ceux qui nous ont suivis!

Au plus profond de nous quatre, des souvenirs intenses et bien riches restent gravés!

Si vous voulez me retrouver de temps en temps... Je vous invite sur Shakti

Le barrage Hoover Dam, qui se dresse de ses 726 pieds de hauteur devant le fleuve Colorado entre le Nevada et l'Arizona, est un exemple éclatant de la victoire de l'homme sur la nature. Ce barrage fut le plus important ouvrage hydroélectrique de son époque et demeure le second plus haut barrage aux États-Unis. Construit pendant la crise économique des années 30, cet ouvrage eut un impact majeur sur l'économie et sur le développement de plusieurs états de l'Ouest américain.

La construction de ce barrage a été réalisée en partie pour contenir les crues périodiques du fleuve Colorado qui est le résultat du ruissellement de l'eau des montagnes qui couvrent sept états américains. Lorsque la fonte des neiges survient à chaque année, un apport massif d'eau est ajouté au débit de ce cours d'eau et cause inévitablement des inondations destructrices. La construction d'un barrage venait régler ce problème en contrôlant le débit du fleuve. Un débit régulier favoriserait la croissance de l'agriculture dans cette région et l'apport d'électricité généré par le barrage viendrait à long terme rentabiliser la construction et permettrait ainsi d'assurer la croissance de tout le Sud de la Californie et également de la ville de Las Vegas au Nevada.À une époque où le chômage affecte 24 % de la population active américaine (1932), l'ouverture du chantier fut vécue comme une opportunité d'avoir un travail et de gagner sa vie. Les salaires étaient peu élevés (entre 4 $ et 5,60 $ par jour) mais redonnaient espoir aux sans-emploi. À la suite du Dust Bowl, des milliers d'agriculteurs ruinés partent refaire leur vie vers l'Ouest.

Pour tenir les délais imposés par le gouvernement, les équipes doivent travailler jour et nuit. Les ouvriers font les trois huit et n'ont que trois jours fériés dans l'année. La tâche la plus dangereuse (et la mieux rémunérée) était de lisser les parois du canyon ; mais la plus pénible était de creuser les tunnels de dérivation : les ouvriers travaillaient dans une chaleur suffocante et respiraient les gaz d'échappement des machines. Des brigades du froid étaient chargées d'emmener les victimes dans des couvertures remplies de glace. Mais ils décédaient souvent sur le chemin de Las Vegas. Pendant l'été 1931, on compte un mort tous les deux jours.

Un syndicaliste de l'IWW, Frank Andersen se fit embaucher et encouragea les hommes à faire grève. Les ouvriers réclament la ventilation dans les tunnels de dérivation, de l'eau potable et de meilleurs sanitaires dans leur campement. Face au refus du chef de chantier, 1 400 ouvriers entrent en grève le 8 août 1931. Le gouvernement ordonne que l'on renvoie les grévistes et la compagnie envoie des hommes pour débarrasser par la force le site. En quelques jours, la situation est maîtrisée. La fraîcheur de l'automne apaise les tensions et la construction de logements décents s'accélère à Boulder City. Au printemps 1932, la crue du fleuve envahit les tunnels de dérivation, sans faire de victime.

Mais des ouvriers portent plainte pour empoisonnement au monoxyde de carbone dans les tunnels de dérivation. Les responsables de la compagnie préféraient parler de pneumonie pour éviter de payer le dédommagement. Un ouvrier nommé Ed Kraus porta l'affaire devant la cour de justice du comté de Clark mais n'obtint pas gain de cause.

Le barrage fut complété en 1935, deux ans avant la date prévue à l'origine. La production hydroélectrique débuta en 1936 et des turbines supplémentaires furent ajoutées périodiquement jusqu'en 1961, poussant la production électrique jusqu'à 2000 mégawatts.

       Un nouveau pont est en construction, c'est bien impressionnant!

Lake Mead  s'étend sur la frontière entre le Nevada et l'Arizona, à 48 km environ au sud-est de Las Vegas.

Il s'agit d'un lac articifiel créé par le barrage Hoover (dont je vous parlerai dans le prochain post)  sur le Colorado dans les années 1930. Il s'étend sur 180 km de long en amont de l'ouvrage, mesure 640 km², possède 885 km de rivage et retient environ 45 km3 d'eau.

La Virgin River et la Muddy River se jettent dans le lac Mead, au nord.

Il alimente Las Vegas via un aqueduc.(Honte et gaspillage!)

La hausse de la consommation d'eau, ajoutée au changement climatique, fait craindre l'assèchement du lac vers 2021...

Malgré tout c'est magnifique: cette étendue bleue qui contraste dans ce désert....

J'espère qu'il sera possible d'éviter cet assèchement: une idée:

raser Las vegas;-))) non, sérieusement j'espère que l'on prendra un jour conscience de l'inulilité de cette ville, oui, je suis insistante!

Je ne vous ai pas fait  encore de post perso sur Las Vegas. Pour cause, c'est la ville que nous avons le moins aimé pour ne pas dire " détestée".

Je vous donne juste quelques impressions qui me sont personnelles; sans aucune attention ni politique ni autre.... la façon dont je perçois cette ville....

Quelques mots pour qualifier mon ressenti : inutile, factice, superficiel, inhumain, laid oui j'ose le dire!

Cette ville est un reflet d'un côté mégalomane de l'être humain. Tout y sonne faux, toc, semblant...

De plus j'ai été choquée par ce gaspillage  dans ce monde où l'on parle encore de pauvreté, gaspillage d'électricité, d'eau....

sentiment aussi d'indécence... tant d'exhibition  .... peut être pour se cacher la vérité....

Je sais que ces propos vont déplaire à ceux qui aiment cette ville mythe,   cette ville carton mâché: super décor pour des films...

                                      Las Vegas lejour...

Nous sommes partis au plus vite le matin retrouver la nature , la vraie, le désert si beau .... !

La Burlington Northern and Santa Fe Railway (BNSF) est l'une des sept compagnies de chemin de fer de classe 1 aux États-Unis. Son siège est situé à Fort Worth (Texas).

La compagnie est née le 31 décembre 1996 de la fusion du Burlington Northern Railroad et de l'Atchison, Topeka and Santa Fe Railway. C'est une filiale à 100 % de la Burlington Northern Santa Fe Corporation.

La BNSF est l'une des plus importantes entreprises ferroviaires des États-Unis.

                                                    *

Je vous avez parlé des trains "à rallonge" rencontrés à Flagstaff, lors de nos derniers voyages: nous  en avons de nouveau croisés assez souvent sur notre trajet.

Le plus impressionnant a été l'attente de plus d'une demi heure à un passage à niveau à Gallup un peu avant Santa Fe:

passage de deux trains; l'un avec du matériel varié...mais beaucoup de wagon de marchandise militaire; depuis des chars, jusqu'à des citernes de produit toxique.

Certaines personnes, des habitués certainements du coin, traversent lavoie, sans scrupule, entre le passage des deux trains; ou pire, lorsque le train est à demi arrêt, ils traversent les wagons: assez impressionnant!

J'ai rajouté des albums photos et des photos aux albums déjà en place!

(sur le côté à gauche après les archives)

"Un touriste qui voyage au travers des prairies américaines s'arrête dans une petite ville et entre dans un bar.

Il s'installe au bout du comptoir, commande une boisson et allume un cigare.

En même temps qu'il sirote sa boisson, il commence à faire quelques ronds de fumée avec son cigare.

Après qu'il ait soufflé 9 ou 10 ronds dans les airs, un grand et coléreux indien marche lourdement vers lui et lui dit :

"Une remarque de plus et je te défonce la tête !"…

Geronimo, appelé à sa naissance Goyathlay , est un Indien Apaches. Né dans la tribu des Apaches Bedonkohe, il passe dans celle des Netna. Il n'a jamais été chef, mais en tant qu'homme-médecine, son influence était grande sur ses compatriotes. Sa femme Juh appartenait à celle des Chiricahuas.

Il est né dans la tribu des Apaches Nednis à Nodoyohn Canyon, au Mexique (actuellement Clifton, Nouveau-Mexique). Il est admis au conseil de guerre des Apaches Chiricahuas en 1846. Il participe à des attaques contre les colons, Mexicains et Étatsuniens.

Après le meurtre de sa mère, de sa femme et de ses trois enfants par l’armée mexicaine, il commence en 1858 des raids de représailles en territoire mexicain. Il venge sa famille le 30 septembre, jour de la saint-Jérôme 1859, par le massacre de Kas-ki-yeh. Les cris des Mexicains invoquant saint Jérôme (Géronimo ! Géronimo !) pour leur défense, l'inspirent et il prend alors son nom : Géronimo.

Lorsque ses raids débordent du coté États-Unis en Arizona et Nouveau-Mexique contre les colons blancs qui empiètent de plus en plus sur le territoire apache, le général George Crook est chargé de protéger la population blanche. En octobre 1860, il participe avec le chef Mangas Coloradas à la bataille d'Apache Pass. Mangas Coloradas est gravement blessé et soigné par un médecin mexicain. Malgré cette victoire, les Apaches se rendent (sur les conseils d'un trappeur), pour pouvoir vivre en paix.

En 1876, les Apaches du Rio Grande sont déportés dans la réserve de San Carlos, aride et désertique. Géronimo s'en échappe plusieurs fois, vivant de pillages, avant de se rendre. Il se réfugie ensuite au Mexique, poursuivi par 5000 soldats étatsuniens, 500 éclaireurs et 3000 soldats mexicains. Retrouvé en mai 1882 par des éclaireurs Apaches, il accepte de rendre et retourne en réserve. Il est transféré dans la réserve de San Carlos. L'arrestation brutale du guerrier Ka-ya-ten-nae le pousse à s'enfuir une nouvelle fois le 17 mai 1885 avec 35 hommes et 109 femmes et enfants. Il y a alors plus de 5000 hommes, soldats étatsuniens, miliciens et éclaireurs à sa poursuite. Il est de nouveau retrouvé par des Apaches (25 mars), et le général Crook le force à se rendre. Refusant de signer un traité envoyant sa tribu en Floride, il s’échappe à nouveau avec ses hommes pendant le transfert vers la Floride, où leurs familles étaient détenues, en mars 1886.

Crook étant alors parti en retraite, c’est le général Nelson A. Miles qui est chargé de le poursuivre avec 5000 hommes, 500 éclaireurs apaches et des milliers de volontaires. Avec seulement 35 guerriers et la charge de plus de 109 femmes et enfants, Geronimo réussi à passer entre les mailles du filet pendant plus de 5 mois, utilisant la surprise, la mobilité et grâce aux connaissances des Apaches des modes de survie dans des conditions extrêmes. Épuisé, fatigué de la guerre, il finit par se rendre le 4 septembre 1886. Seuls 16 guerriers, 12 femmes et 6 enfants l'accompagnent encore.

Sur ordre spécial du président Grover Cleveland, il est placé sous surveillance militaire étroite en Floride avec 14 de ses braves.
Ils sont ramenés à Fort Still, en Oklahoma, en 1887, le climat humide de la Floride s’avérant malsain pour les Apaches habitués à celui du désert.
Geronimo se convertit alors au christianisme et devient fermier. Il regrette cependant jusqu'à la fin de ces jours de s'être rendu.
Il vend des souvenirs à la Louisiana Purchase Exposition en 1904, participe à la parade d'inauguration de Theodore Roosevelt en 1905

Il dicte l’histoire de sa vie en 1906 avant de mourir d'une pneumonie à Fort Still en 1909.

Les campagnes de guérilla de Geronimo reste un parfait exemple du genre. Ses facultés à exploiter les ressources limites en hommes et les terrains difficiles en font un stratège et un tacticien excellent.

Géronimo, Goyathlay (juin 1829 - 17 février 1909)

                                        Photo d'une carte postale!

Nous retrouvons notre charmant hotel de l'arrivée... Plein de klms dans les pattes!

Plein de soleil, de souvenirs .... et dans deux jours le départ pour Paris.

Au moment où j'écris ces mots, je ne sais si nous vous aurons envoyés des photos ou raconté un peu plus ...

Si nous ne l'avons pas fait, c'est que nous avons tellement profité...!

Mais n'ayez crainte dès notre retour nous nous en chargerons!

               Bye!

J'approfondirai  ce blog, donnerai plus de précisions....

De retour à L.A  pour quelques jours...

Des amis à retrouver et une ville toujours bien agréable à visiter.

Comme souvent, grande ville: ville de contrastes, d' ouverture, ville cosmopolitaine et ..... ville mythique!!!

Mais pas trop le temps d'écrire.... alors quelques photos pour le fun!

Non!!! Ce n'est pas notre hotel, mais celui qui se trouve juste à côté!

J'imagine qu'il doit y en avoir plus d'un à L.A ou en Californie qui porte ce nom;

mais ça fait de l'effet tout le monde s'arrête pour prendre la photo!

Celui où nous nous trouvons n'est pas mal non plus!

voici la vue que nous avons depuis notre fenêtre:

Désolée, pour ces bannalités, la journée a été bien fatigante....

Je pense que je vous donnerai mes impressions à mon retour!

                  @ tout bientôt!

Sedonna est une ville d'Arizona  qui se trouve dans les montagnes.

Le paysage est magnifique : des roches rouges qui contrastent avec le ciel bien bleu.

                     
Cette ville apparait au détour d'un virage comme un tableau dessiné au bout d'une route boisée.
Panorama un peu fantastique presque irréel, les cimes en dentelles semblent être un décor de cinéma.

Au pied de ces monts coule une petite rivière fraîche.

Végétation magnifique, mais la ville en elle même est surfaite.
L'hôtel où nous trouvions était calme.  Les  touristes préfèrent la ville aux mille magasins sans grand intérêt.

Aussi nous avions la piscine pour nous seuls!
 

Notre trajet se Santa Fe (hotel Santa Ana)  au nouveau Mexique

à Sedonna    en  Arizona

                             tout en photos ... !

            Nous n'avons pas pris le train, mais avons suivi la voie ferrée...

Des personnes venues d'on ne sait où nettoient notre voiture ;-)))!

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Les paysages se succèdent, différents, aussi beaux les uns que les autres; et d'après les diverses végétations nous pouvons imaginer les sous sol .

Quelle que soit l'altitude, la température est identique: chaude, bien chaude ( pour me ravir!)

Pour vous, toutes ces images ne sont qu'images, paysages différents; mais pour nous ils représentent des kms parcourus,
des périodes de l'histoire différentes, des ambiances variées qui vont  du silence, où chacun seul, voyage pendant le voyage, aux moments de fou-rires collectifs....
Les images qui défilent sont mêlées à des couleurs différentes, des odeurs spécifiques, des émotions personnelles, ou partagées.....

Visite la mística Sedona y la magnificencia del Gran Cañón

Dos horas al norte de Phoenix, en el centro del estado, puede visitar el misticismo de Sedona, célebre por sus bellas formaciones rocosas y sus famosos torbellinos con su reputación de concentración de poderes cósmicos.

El Gran Cañón, una de las grandes maravillas naturales del mundo, se encuentra cerca de la frontera norte de Arizona. El centro para visitantes de la orilla sur, está a solo a una hora y media manejando desde Flagstaff. Existe un tren de vapor que ofrece excusiones al cañón desde el pueblo de Williams. Williams se encuentra en una porción que sobrevivió de la histórica Ruta 66, mas o menos a 48 km (30 millas) al oeste de Flagstaff.

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Au début, Sedona n'était que la petite vallée de l'Oak Creek, cultivée par quelques fermiers. En 1902, Théodore Schnebly ouvrit un bureau de poste, et construisit une piste jusqu'à Flagstaff : il y portait les primeurs de la vallée, et revenait avec du bois de construction coupé sur les pentes des monts San Francisco.

Cette ville fut découverte par le grand artiste surréaliste Max Ernst, qui s'y installa.

Puis l'histoire de Sedona se fait conaître ( hélas, ....!!!)

Ce coin est considéré et vénéré comme sanctuaire magnifique et spirituel de l' âge préhistorique. Les indiens américains sont venus à Sedona pour leurs cérémonies religieuses.

Les falaises de pierre sablonneuse rouge s' élèvent sur mille pieds au-dessus de la vallée. Des buttes, des mesas et des pinacles rocheuses se dressent de partout dans cette vallée. De tous les côtés les masses rocheuses sont érodées en formes stupéfiantes qui resemblent à des forteresses géantes, à des tours, à des pinacles et d' autres paysages exotiques. Le village de Sedona se trouve au milieu de cette splendeur panoramique entourée de sources d' eau qui descendent des montagnes, des clairières verdoyantes et des forêts de pins en contraste avec ces formations rocheuses rouges.

Le Grand Canyon, à seulemnt 90 minutes de route au nord du grand canyon: Sedona est devenu une ville un peu touristique; réputé universellement pour ces phénomènes de vortexes ou vertexes qui offrent des biens de soins spirituels et des éclaircissement métaphysiques. Les palpeurs du nouvel âge se dévouent à aller dans cette vallée magnifique pour des raisons spirituelles et espoirs de rajeunissement physique. Vous pouvez facilement visiter ces vortexes et sites spirituels sur les roches pour absorber des resources d' énergie métaphysique. Je pense personnellement qu' une bonne bouteille de vin aide tout autant. Les magasins et boutiques dans le village vendent des cristaux surnaturels, des amulets indiens, des bracelets de cuivre et autres objets spirituels. La plus part des centres de formes et spas offrent des classes de yoga et d' autres variations de régimènes spirituels en plus des massages courrants, traitements de peau et autres cures traditonnelles. Bon ..... c'est ainsi tant mieux pour ceux qui y croient!!! quant à ceux qui s'en mettent plein les poches par ce biais... Aïe, aïe, je ne vais pas me fair que des amis... 

Il n'en demeure pas moins que cet endroit est d'une beauté rare : il est tout à fait possible de faire abstraction de tout ce côté folkorique et de profiter du paysage inénarrable! Une roche rouge, un cours d'eau qui se cache de tous, et dévale un petit coteau... des plateaux gigantesques , une chaleur comme je l'aime.

Un des coins préférés de la famille et nous y restons 4 jours...

Santa Fe est une ville magnifique. Perchée dans les montagnes mi désertiques, mi boisées, elle s'épanouit avec ses maisons en adobe.

Dernier état rattachée aux états-unis. Elle est carrefour entre indiens, mexicains dits latinos et "américains": en fait tous sont américains.

Ces trois communautés vivent sans réellement se mélanger: c'est un avis très personnel, après un cours séjour, avis peut être hâtif, et je l'espère erroné ... Je n'en dit pas plus ( mais n'en pense pas moins) .

C'est la ville où fût érigée la première église catholique des USA  (1610) à l'époque en territoire mexicain; église construite par et pour les indiens mexicains:  chapelle San Miguel.

Dans cette ville s'étaient installés des franciscains dès le 17ème siècle.  De nombreuses églises furent construites ; d'où le nom de cette ville Santa Fe: Sainte Foi.

je vous ai dit une ville très colorée, très chaude, à mon avis un peu trop touristiques voire "bobo" ;-)))

De nombreux musées à visiter et de nombreuses galeries d'art de tous genres...

Un bon souvenir, Santa Fe est une ville qui mérite d'être connue.

Non, rien à voir avec celle que vous connaissez , la vraie qui a certainement inspiré "Monsieur dessin animé américain" ! moi, péjorative??? ...

Pocahontas (1595-1617) comme elle connue, ou plutot Matoaka comme elle était appelée dans sa tribu, ou encore Rebecca Rolfe de son nom de baptème était une femme amérindienne de la confédération de tribu des Powhatans, fille du chef Powhatan.

Elle sympathisa avec les colons anglais de Jamestown en Virginie, et elle est réputée avoir sauvé en 1607 la vie du capitaine John Smith (1595-1617) alors qu’il avait été capturé et était sur le point d’être executé en représailles.
Elle est kidnappée a son tour en 1611 par un anglais du nom de Samuel Argall et est retenu en otage à Jamestown en échange du retour des prisonniers anglais fait par son père. Elle se convertit au christianisme l’année suivante et prend le nom de Rebecca. En 1613, elle épouse le colon John Rolfe (1585-1622).
Elle part pour l’Angleterre en 1616 ou elle est reçue à la cour de Jacques Ier avec les honneurs dus à une princesse.
Lors de son voyage de retour vers sa terre natale, elle tombe malade et meurt lors d’une escale au large de Gravesend dans le Kent, laissant un fils.
Le mariage et la conversion au Christianisme de Pocahontas amenèrent une période de relations pacifiques entre les amérindiens Powhatan et les colons. Celle-ci ne devait malheureusement pas durer très longtemps puisque dès 1622 les hostilités reprirent de plus belle.

Les premiers occupants étaient les Amérindiens pueblos (nommés ainsi par les Espagnols). Ils entretenaient des relations étroites avec la terre dont ils faisaient des poteries ou des habitations en adobe.

Profitant de sa situation de carrefour, la ville se développa dès le XVII^e siècle : un premier établissement fut fondé par Juan Martinez de Montoya vers 1607, ce qui en fait la fondation européenne la plus ancienne du pays derrière Saint Augustine en Floride (1565). Les Espagnols ont eu recours au travail forcé des Amérindiens pour construire la ville. Elle devint alors la capitale du Nouveau Mexique, une province de la Nouvelle Espagne, explorée par Coronado. C'est lui qui fonda officiellement la ville.

Le 13 août 1680, Santa Fe est attaquée par les Amérindiens Pueblos, aidés par les Apaches. Le gouverneur doit même abandonner la ville et se réfugier à El Paso. Les Pueblos exigeaient alors la fin de la présence espagnole et la libération de tous les esclaves de Nouvelle-Espagne. En décembre 1693, Don Diego de Vargas reprend Santa Fe et 470 Amérindiens sont exécutés en représailles, alors que les femmes et les enfants sont réduits en esclavage.

Seuls les Hopis demeurent insoumis. Un presidio est construit pour renforcer la défense de la bourgade.

En 1739, deux frères français, les Mallet, arrivent à Santa Fe : cela marque l'instauration de relations commerciales avec les marchands et les coureurs des bois de Louisiane française. Les Français fournissent des articles de quincaillerie contre de l'argent espagnol. En 1805, Pierre Vial découvre la piste de Santa Fe. Les connaissances géographiques des coureurs des bois permettent de lancer des expéditions terrestres à partir de Santa Fe, afin d'étendre l'influence espagnole.

Jusqu'à la guerre d'indépendance mexicaine, qui éclata en 1810, Santa Fe resta une ville espagnole. La constitution mexicaine de 1824 en fait la capitale du territoire de Santa Fe de Nuevo México. Pendant la Guerre américano-mexicaine, le général Stephen W. Kearny  entre à Santa Fe en août 1846. Il attribue le poste de gouverneur à Charles Bent qui se révèle incompétent ; la population se soulève et Bent finit par être assassiné en janvier 1847. L'armée américaine se livre alors à des représailles sanglantes. En 1848, le Nouveau-Mexique passe sous contrôle américain, par le traité de "Guadelupe Hidalgo"**  et devient en 1912 le 47^e État des États-Unis. Santa Fe conserva son statut de capitale.

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quelques explications:

adobe:L'adobe est une brique de terre crue, séchée au soleil, et utilisée comme matériau de construction. Ces briques sont obtenues à partir d'un mélange d'argile, d'eau et éventuellement d'une charge utilisée en petite quantité : de la paille hachée par exemple.Il s'agit d'un des premiers matériaux de construction : les premières villes connues étaient construites en briques de terre crue. Ce matériau est encore l'un des plus utilisés au monde, on le trouve sur tous les continents

**Le traité fut signé à « Villa de Guadalupe » (faisant aujourd'hui partie de Mexico),

                    N'oubliez pas la dédicace de ce carnet: ICI

Santa Fe se trouve à 2 100 mètres d'altitude, à l'intérieur du continent nord-américain. C'est la capitale de l'état du nouveau Mexique!

voir le post suivant sur l'histoire de cet état mais notez bien!!!

A Flagstaff, nous avons visité ( entre autres)  le musée : Museum of northern america :

Je pense que le meilleur résumé est de vous conduire sur le site de ce musée.

             ICI

Encore une fois, je répète qui a parlé du nouveau monde  ;-) ?

Vous trouverez toutes les photos sur le site, je vous offre quelques photos de l'extérieur.

Après quelques jours de vie sédentaire nous voilà dans les parcs ….

C’est depuis Kayenta le pays navajo, en Arizona que je vous écris. Nous nous posons pour quelques jours dans cet endroit que où nous étions déjà venus.   

Un endroit un peu perdu après le désert, tout proche de Monument Valley.

C’est un endroit on ne plus calme, voire silencieux qui conduit presque à la méditation …

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Nous avons parcourus de nombreux de kms …. que de paysage différents visités : des déserts plats ,

d’autres montagneux. Nous avons vu traverser des endroits qui nous semblaient d’une autre planète :

depuis le désert avec des dunes en forme de seins,

aux montagnes façon découpe de gâteau à plusieurs étages en passant par des villes folles (beurk … Las vegas… ! ! !) Flagstaff…….

Des différences de températures !

Des photos ….. nous en avons faites…..

Mais pas beaucoup de temps pour les poster.

Je ferai plus tard des posts sur chaque endroits. Pour le moment nous préférons profiter, savourer chaque instant.

Je vous mets en attendant un album avec quelques photos en vrac….

           Un voyage dans la bonne humeur, ambiance bien détendue....

nous prévoyons même un album "famille"! pour vous dire....

@ bientôt....

Flagstaff est une ville du nord de l’État de l'Arizona.

Ville où se trouve une grande gare .... Je n'ai jamais vu autant de train et surtout avec autant de wagons... des centaines oui, vraiment!!! on s'en laissait même de compter!

La ville est située sur la bordure sud-ouest du plateau du Colorado et au sud des San Francisco Peaks, la chaîne de montagnes la plus haute de l’État. FlagstaffFlagstaff est le siège du comté de Coconino et la ville centrale d'une aire urbaine de 122 000 habitants;

C'est de cette ville que nous pouvons emprunter la route qui traverse le " désert colorée"...

Laquelle route conduit vers les mesas Hopies.

Une route droite qui vous mène droit dans l'horizon: mais on va passer de l'autre côté?

traverser un écran géant??,

Ce désert, rose- mauve porte bien son nom...

c'est "el camino" droit où l'on ne croise aucun autre véhicule, si ce n'est celui d'un des habitants des villages d'en haut! de part et d'autre de la route des cailloux roses, quelques rares touffes d'herbes séchées, des chardons... de temps à autre un tourbillon de sable de chaleur... effet d'optique, mirage, réalité... nul peut le dire!

Route qui fait penser à Magritt ou autre peintre surréaliste...

Les couleurs, les impressions de chaleur, de silence, d'inquiétude sont telles que l'on est persuadés de rentrer DANS un tableau au couleurs confondus, aux couleurs chaudes et enveloppantes qui vous donnent le sentiments que vous êtes un personnage dessinés par on ne sait quel artiste ... et qui vous conduit vers ... un paradis.

Ce chemin, j'en ai que des photos papiers, mais il est gravé à tout jamais dans ma mémoire!

je vous le montrerai c'est promis!